Le logement de fonction est attribué par une société à un salarié. Donné en tant que rémunération en nature, ce dernier ne devra pas en supporter son loyer. Dans plusieurs cas, l’employeur pourra exiger une participation financière infime. Les logements de fonction étaient initialement destinés aux travailleurs de l’administration publique et aux hauts fonctionnaires. Actuellement, cet avantage en nature peut être aussi consenti aux cadres supérieurs et aux dirigeants d’une entreprise.

Tout savoir sur le logement de fonction et les démarches juridiques

Le logement, même quand il n’est pas directement lié à l’exercice de la profession d’un employé, peut être considéré comme étant l’accessoire de l’emploi. À l’opposé, le logement n’est pas considéré tel un accessoire à l’emploi quand il est loué par l’employeur de l’embauchage de manière indépendante. Les obligations du salarié quittant l’entreprise après une démission ou un licenciement ne seront pas les mêmes en vue du fait qu’il occupe le logement de fonction, précisé comme accessoire ou non.

Par ailleurs, la jurisprudence va considérer que la libération de ce logement pourrait être exigée lors de l’expiration du préavis. Quand un licenciement est noté comme abusif, le préjudice matériel relié à la perte de ce logement est considéré pour l’évaluation du devis des dommages et intérêts. Si vous avez des soucis au niveau de la réalisation du contrat, vous pouvez faire appel à un avocat en droit de travail.

Que contient le contrat de location de ce logement de fonction ?

Le propriétaire du logement de fonction doit fournir obligatoirement le dossier de diagnostic technique, c’est comme pour tout type de location. Il devra alors annexer au contrat l’état des risques technologiques et naturels qui indique si ce logement se situe ou bien non dans le périmètre d’exposition aux aléas naturels, technologiques ou miniers. L’état mentionne également le potentiel radon, la pollution éventuelle du sol et le risque sismicité. Le DPE ou diagnostic de performance énergétique informe le degré d’isolation thermique et les charges prévisionnelles du chauffage du logement. Le CREP constate des risques d’exposition au plomb qui montre si les revêtements du logement sont dotés ou non de plomb.

Par ailleurs, l’état de l’installation de gaz et d’électricité évalue les risques que peut atteindre la sécurité des personnes. De façon générale, pour valablement louer, les installations d’électricité et gaz ne devront pas être dangereuses et devront assurer la sécurité des tous les occupants. Dans le cas où les règles ne sont pas respectées, vous pouvez faire appel à un avocat spécialisé en droit de travail. C’était à partir de l’année dernière qu’il y a eu l’information sur des nuisances sonores aériennes.

Les points essentiels à prendre en compte en cas de fin de contrat de travail

Dans un contrat-type de logement de fonction, il peut être prévu que le contrat est résilié par la fin ou la rupture du contrat. C’est notamment l’idée de base de ce logement de fonction. Au cas où le contrat de travail est rompu après une démission ou un licenciement ou qu’il prend fin, car c’est un contrat temporaire, le fait d’attribuer le logement ne peut pas se justifier et le locataire devra restituer le logement. De ce fait, si l’employer occupant du logement quitte la société, le contrat de location sera résilié. C’est notamment le cas quand le propriétaire est aussi l’employeur.

De ce fait, si vous employez un gardien ou un jardinier que vous logez, s’il va démissionner, il devra quitter ce logement. C’est pareil si vous le licenciez. Dans ce cas, il faut rappeler les conditions d’occupation qui sont prévues dans le cadre du contrat de travail avec le salarié. Une clause de ce contrat-type pourrait être écartée si vous le voulez. Si vous acceptez, par exemple, que l’entreprise change l’occupant du logement de ses besoins. Dans ce cas, plusieurs occupants pourront se succéder dans le logement sans que tout cela remette en cause votre contrat de location. Si l’employeur ne suit pas les règles, vous pouvez alors porter plainte.

C’est souvent difficile de s’entendre quand on est viré. Mais c’est encore pire quand on est victime d’un congédiement injustifié ! Dans ce cas, une action en justice pourra être engagée : remise en état du fonds de commerce ou indemnisation des préjudices subis dans le cadre de la remise en état. Un avocat du travail peut vous aider à identifier ce qu’on appelle un « vice de procédure » en jargon juridique.

L’importance d’un avocat pour les affaires des prud’hommes

Si vos documents sont complexes, un spécialiste en droit connaissant le droit en la matière pourra les étudier et vous représenter facilement devant CPH en votre nom. Même si un juge tranche au cas par cas, il ne faut pas oublier qu’il tranche selon la lettre de la loi. Donc, si vous n’avez pas d’arguments juridiques contre lui, il y a de fortes chances qu’il ne réponde pas positivement à votre demande. Si l’employeur commet une telle erreur lors d’une procédure de licenciement, l’avocat en droit du travail peut conseiller à son client de saisir le Tribunal du travail, car les chances de succès devant un juge sont élevées. Un professionnel du droit est toujours disponible pour guider, conseiller et guider ses clients afin de trouver la meilleure solution pour lui. Ne gagnez pas d’argent sans son aide. Si l’assistance d’un spécialiste en droit devant les prudhommes n’est pas obligatoire au Tribunal des Prud’hommes (CPH), sa présence peut s’avérer indispensable à bien des égards, même pour un avocat averti.

Technicité de l’audience et la procédure devant les prud’hommes

Si vous connaissez peu ou rien de la loi, le processus d’expulsion et d’audience peut être difficile à naviguer. Par exemple, une date d’échéance incorrecte peut entraîner le rejet d’un document. Comme le programme continue d’évoluer, le texte est parfois difficile à lire et contacter un avocat peut facilement vous guider dans cette étape. Parfois, le risque financier des documents est très important. Pour vous donner un avantage, il est préférable d’avoir un avocat pour défendre vos intérêts. Dans ce cas, ne pas embaucher d’avocat spécialiste en droit peut coûter plus cher que d’en embaucher un. Vous doutez souvent de vos droits et de l’issue de votre affaire. En effet, est-il légal pour vous de vous requalifier pour un licenciement ? Le juge sera-t-il d’accord avec vous ? Un avocat peut vous dire quelles sont vos chances de succès, surtout si vous êtes mieux en mesure de négocier sans aller au tribunal. Même s’il faut se rappeler que la jurisprudence fluctue et que CPH prend des décisions au cas par cas.

Le déroulement des affaires des prud’hommes

Habituellement, l’employeur que vous attaquez est représenté par un avocat pour défendre ses intérêts. En assistant seul à l’audience, vous risquez un grave déséquilibre dans le rapport de force. Vous êtes sûr qu’un spécialiste du droit vous représente devant un juge, mais vous ne savez pas si vos ressources vous permettront de payer ces frais ? Sachez que vous pouvez avoir une assurance protection juridique qui couvre les frais d’avocat, généralement elle est rattachée à votre assurance habitation. Si ce n’est pas le cas, sachez que si vos revenus ne sont pas élevés, l’Etat peut prendre le relais et vous rembourser 100 % ou une fraction de vos frais de justice. Par exemple, si vous n’avez pas de personnes à charge et que vos revenus mensuels maximum sont inférieurs ou égaux à 1 007 euros, l’aide juridictionnelle est complète. N’hésitez pas à déposer votre dossier de candidature auprès du Service d’Aide Juridique du Tribunal des Prud’hommes et à demander conseil à votre avocat. La majeure est connue pour avoir une excellente aisance orale, ce qui peut jouer un rôle dans les cours d’écoute.

Les conflits peuvent être résolus par le règlement alternatif des différends ( RAD) ou modes alternatifs, comprenant quatre (04) méthodes, à savoir : la médiation, la conciliation, l’arbitrage et la procédure participative. La légitimité des modes alternatifs est reconnue par le droit de la famille. Cependant, en quoi consiste la médiation ? Dans quelles circonstances est-elle utilisée et quelle est son importance ?

Qu’est-ce que la médiation ?

La médiation est un mode alternatif de résolution des conflits. Elle consiste à faire appel à un tiers ou à un médiateur qualifié et impartial dont la tâche est de mettre en place un environnement propice au dialogue entre deux ou plusieurs parties afin de trouver un consensus. En d’autres termes, la médiation consiste à régler les litiges de manière extrajudiciaire, avec l’aide d’un médiateur. Contrairement au juge ou à l’arbitre, le rôle du médiateur n’est pas de juger en déterminant qui a tort ou raison, mais plutôt d’établir des pourparlers en vue de trouver un accord amiable aux conflits.

Lorsque les parties et le médiateur parviennent à un accord, c’est à l’avocat, mais pas au médiateur, de rédiger le protocole d’accord, qui peut être validé par un magistrat. Dans le cas contraire, les parties sont libres de s’adresser au juge d’État. La médiation fait donc partie du droit de la famille.

Pour en savoir plus sur les modes alternatifs de résolution des conflits, rendez-vous sur mulon-associes.com.

Quand la médiation est-elle utilisée ?

Si vous envisagez de résoudre votre conflit à l’amiable, le droit familial vous permet de recourir aux modes alternatifs de règlement des conflits. Dans cette situation, vous pouvez choisir l’option de la médiation. En général, la médiation est recommandée si les sources du conflit résident dans un malentendu auquel une clarification par l’établissement d’un dialogue pourrait mettre fin.

Voici quelques-unes des circonstances dans lesquelles la médiation est utile : les conflits commerciaux qui persistent entre clients et fournisseurs ou entre prestataires de services, les conflits entre particuliers tels que les conflits de voisinage, les conflits de propriété, les conflits de divorce, les conflits immobiliers entre propriétaires et locataires ou entre copropriétaires, les conflits sur le lieu de travail (entre employeurs et employés ou entre employés). Toutefois, avant d’entamer cette procédure, il est toujours conseillé de demander l’avis de votre avocat médiation.

Quels sont les avantages de la médiation ?

Tout d’abord, les particularités de la médiation reposent sur le fait que les parties trouvent elles-mêmes les résolutions qui leur conviennent pour sortir de l’impasse. Cette méthode respecte le choix des parties, c’est-à-dire qu’elles sont libres de choisir le médiateur et le mode de fonctionnement de la médiation.

En outre, la médiation est rapide puisque sa durée ne dépasse pas trois (03) mois. De plus, en recourant à la médiation, toutes les rencontres sont confidentielles. Enfin, ses coûts sont raisonnables, ils sont fixés en fonction du budget de chaque partie. La solution est sur mesure. Le médiateur n’impose rien, c’est aux parties de trouver la solution qui leur convient. Il faut noter que le rôle de l’avocat médiation fixé par le droit de la famille est d’accompagner ses clients tout au long du processus de médiation.

 

La persécution morale est un acte sadique accompli dans le but d’aggraver les conditions de travail d’un individu par des actions, paroles, ou attitudes répétées ou systématiques. Ces comportements entraînent un trouble mental ou physique qui menace la santé de la victime. L’intimidation est une façon de détruire une autre personne.

Le harcèlement moral, c’est quoi?

Le harcèlement se produit généralement à la suite de conflits mineurs. Il s’agit d’un processus auto-entretenu et répétitif, en particulier sur une longue période, qui se manifeste par des actions, des paroles, des gestes et des textes unilatéraux qui peuvent compromettre le caractère, la dignité ou l’intégrité physique ou psychologique d’une autre personne. Cela a un effet dévastateur sur l’équilibre mental et la cohésion sociale d’un individu. Cela se traduit presque toujours par l’exclusion du salarié et de graves souffrances psychologiques ou physiques. Les causes de souffrance observées sont la domination et l’injustice, créant des pathologies dans le contexte de la solitude dues à des stratégies d’isolement par la persécution ou les conséquences de la persécution ainsi que des techniques de gestion qui brisent la solidarité et le travail d’équipe. Dans un contexte professionnel, la loi reconnaît et sanctionne deux types de harcèlement au travail : le harcèlement sexuel et le harcèlement moral. Pour faire face à ces injustices, il est désormais possible de faire appel à un avocat harcèlement moral. Consulter ce site pour plus d’informations sur le harcèlement moral au travail

Pour quel objectif ?

Le harcèlement est une violence qui cause de la douleur et est souvent perpétrée par une ou plusieurs personnes dans une entreprise. Les entreprises ont souvent recours harcèlement moral afin de forcer les employés à quitter. C’est une attaque répétée et à long terme réalisée pour un objectif: la destruction d’un autre. On peut distinguer:

1. Le harcèlement moral institutionnel dans le cadre d’une stratégie de gestion pour tous les employés où la violence  n’est pas un problème temporaire ou individuel, mais un problème structurel qui fait partie d’une stratégie.

 2. Le harcèlement professionnel et moral: il prend forme contre un ou plusieurs employés désignés pour contourner les procédures légales de licenciement et enfin la persécution morale d’un individu. Cette dernière pratiquée dans le but de détruire gratuitement les autres ou de renforcer son propre pouvoir.

Les techniques d’intimidation sont généralement basées sur la manipulation.

Les types de harcèlement moral

Nombreux sont les types de harcèlements moraux au travail dont les harcèlements commandités par la direction: l’entreprise est dans un état chaotique et provoque une colère indésirable ou crée délibérément des règles déformées. C’est souvent le moyen utilisé pour forcer l’employé à quitter volontairement plutôt que de  recourir à son licenciement. Les pratiques de persécution sont la grossièreté, l’isolement, l’humiliation, la discrimination, l’opposition organisée et la violence. On peut également rencontrer un type de harcèlement moral employé de façon perverse. Le problème ici réside dans le caractère du harceleur. En plus d’un complexe d’infériorité tyrannique, ils souffrent d’un désintérêt pour la dimension humaine. Le harcèlement se manifeste par une hostilité constante envers la victime telles les orientations excessives, violences, dévalorisations, humiliations…

Pour les entrepreneurs qui débutent, la signature d’un contrat de franchise avec une entreprise (franchiseur) peut s’avérer moins risqué. En devenant franchisé, vous pourrez profiter de la notoriété du franchiseur pour développer rapidement votre activité, de plus, vous bénéficiez d’un accompagnement tout au long du projet. Puisque la collaboration sera conclut via un contrat de droit commercial, il convient de connaitre le contenu et l’intérêt de ce document avant de vous engager.

Qu’est-ce qu’un contrat de franchise ?

Par définition, un contrat de franchise est un accord à travers lequel une enseigne (franchiseur) donne le droit à une autre entreprise (franchisé) d’utiliser son nom et son savoir-faire pour vendre un produit/service défini par un concept précis. Dans ce cas, le franchiseur permet au franchisé de faire usage de sa dénomination commerciale et de sa licence de marque afin de gagner en réputation et booster son chiffre d’affaires. Ce type de document peut se présenter sous forme d’un contrat de distribution (vente produits via la marque), de service (prestation utilisant l’enseigne) ou de production (fabrication produits sous la marque du franchiseur).

Dans ce cas, le franchiseur est contractuellement tenu de faire profiter au franchisé tous les moyens dont il dispose : compétences techniques, stratégie commerciale et industrielle, réseaux publicitaires… En échange du partage de savoir-faire, le franchisé devra payer des royalties et une contribution d’entrée, mais surtout, il devra respecter un cahier des charges strictes. Ce type de contrat est généralement limité par un délai, mais il peut être renouvelé à l’échéance. Vous souhaitez approfondir le sujet, cliquez sur ce lien.

Que contient un contrat de franchise ?

Dans les 20 jours précédant la signature d’un contrat de franchise, le franchiseur devra remettre un DIP (document d’information précontractuelle) au franchisé. Il s’agit d’un document mentionnant l’identité de l’entreprise, l’historique de la franchise, l’état du réseau, le nombre de contrats (en cours et résiliés) puis les perspectives du marché.

Si le contenu du DIP est strictement régi par les réglementations, ce n’est pas le cas du contrat. Prenez ainsi le temps de bien lire les conditions franchise et les clauses avant de signer. En règle générale, le contrat mentionne :

. Activité : produit/service, marque, enseigne et nom, savoir-faire et compétences transmises

. Modalités : normes à suivre, politique de prix, méthodes de communication…

. Résiliation : durée et échéance du contrat (entre 5 à 7 ans)

. Conditions financières : droit d’entrée, redevances, fonds minimums à apporter, cotisations…

. Clauses : clause de non-concurrence, exclusivité territoriale, clause d’approvisionnement, etc.

. Obligations : engagements du franchiseur et du franchisé

Quels sont les éléments à surveiller dans le contrat ?

Avant de signer un contrat donné, lisez attentivement le DIP et assurez-vous de comprendre chaque clause. L’idéal serait de solliciter les conseils d’un juriste pour défendre vos intérêts, mais aussi pour mieux interpréter les conditions imposées.

Sachez d’abord que ce document commercial doit être écrit dans la langue officielle du franchisé puis respecter les réglementations du pays de domiciliation. Vérifiez aussi si les clauses d’exclusivité ne sont pas trop strictes ou confuses. Vous pouvez également vous renseigner sur le nombre de franchisés collaborant avec l’enseigne pour vous faire une idée du marché.

Aussi, le montant et le paiement des différents droits devront être mentionnés clairement. Idem pour les tarifs imposés qui devront être rentables pour couvrir les charges.

Pour finir, les clauses de sortie et de non-concurrence sont déterminantes lors du choix. Elles peuvent définir votre champ d’action une fois le contrat libéré, mais surtout réduire vos possibilités. Idéalement, optez pour une exclusivité limitée dans le temps et l’espace. Selon les spécialistes, il vaut mieux opter pour une clause de non-affiliation (à d’autres réseaux). En effet, un contrat de non-concurrence vous empêchera de travailler dans le secteur durant un certain temps.

Tout le monde est, un jour, concerné par le droit de la famille. Directement issu de la branche du droit civil, celui-ci regroupe en effet toutes les règles régissant les relations juridiques entre les membres d’une même famille. Liens de parenté, d’alliance et d’adoption sont ainsi traités dans ces articles de loi.

Internationalement, le droit de la famille est aussi complété par la Convention internationale des droits de l’enfant, convention conçue par l’ONU, qui édicte mondialement les règles inhérentes à la protection des droits, spécifiquement liés aux plus jeunes jusqu’à leur majorité.  

Depuis sa naissance, en 1804, le code civil a connu bien des bouleversements. Certaines grandes dates assez proches de 2021 sont en effet assez marquantes, telles que la suppression de la notion du chef de famille au profit de l’autorité parentale conjointe en 1970, par exemple, ou l’égalité des époux dans les différents régimes matrimoniaux en 1985.

Le droit de la famille suit donc, avec plus ou moins de réactivité, les mouvements sociétaux. Ces dernières années, de nouvelles lois ont ainsi été élaborées pour règlementer le pacte civil de solidarité (PACS), le mariage pour tous ou pour encadrer la PMA (procréation médicalement assistée), désormais réservée à toutes les femmes qui le désirent.

Le droit de la famille

L’avocat spécialisé dans ce domaine a tout d’abord une casquette de conseiller. En effet, bon nombre de personnes se renseigne avant une union, sur les régimes matrimoniaux par exemple. L’avocat guide ainsi ses clients vers la solution la plus appropriée et rédige le contrat de mariage. De même, il gère la rédaction de convention des PACS et accompagne les futurs parents en cas d’adoption ou de reconnaissance de paternité. Les successions font aussi partie de ses compétences, mais il intervient dans ce cadre, surtout en cas de désaccord familial, suivez le lien suivant si vous avez besoin d’un avocat pour vous conseiller.

En matière de dossiers contentieux, ce professionnel du droit est l’intermédiaire entre vous et le Juge aux affaires familiales. Les dossiers de divorces, quel qu’en soit le motif et l’intitulé, sont obligatoirement présentés par un avocat. C’est lui qui négocie avec la partie adverse, les diverses modalités engendrées par la rupture. Ainsi, partage du patrimoine, droit de gardes, autorité parentale, pension alimentaire, éventuelles indemnités prestatoires … tous les sujets sont traités par l’intermédiaire de cet expert en droit de la famille.

Ses activités englobent aussi les affaires touchant les personnes vulnérables et les mises sous tutelle et curatelle.

En ce qui concerne tous les dossiers contentieux, l’avocat n’hésite pas, dans un premier temps, à jouer son rôle de médiateur, pour tenter d’apaiser les tensions entre les différentes parties et pour, éventuellement, régler le dossier à l’amiable.  

Le choix d’un avocat

Confier à un inconnu, des dossiers émotionnellement lourds à porter, n’est pas chose facile. C’est malheureusement souvent le cas en matière de droit de la famille. Mieux vaut donc opter pour un professionnel avec qui le « courant » passe immédiatement.

S’il est important de procéder à quelques vérifications au niveau de la réputation de l’avocat, de ses honoraires et de ses spécialisations, le premier rendez-vous reste principal et détermine souvent si une collaboration aura lieu ou non.

A Lyon, Maître Emilie Bertholet réunit des compétences reconnues par tous ses confrères. Ses journées de travail sont principalement occupées à gérer les dossiers et à représenter ses clients devant les différents tribunaux de la région Rhône-Alpes. Mais, elle dispense aussi des enseignements en droit pénal à l’Université Jean Moulin Lyon III. Le droit de la famille et des personnes n’est en effet pas sa seule spécialité. Le droit du travail et le droit pénal n’ont, par ailleurs, aucun secret pour elle. Ainsi, les personnes qui ont commis des délits et qui doivent répondre d’accusations devant les différentes instances, celles en conflit avec leur entreprise ou les employeurs ayant besoin de conseils et d’assistance pour la rédaction de contrats entre autres, peuvent aussi faire appel à ses services.

Avocate au Barreau de Lyon depuis 2014, Maître Emilie Bertholet a, depuis le tout début de son exercice, su instaurer un climat de confiance entre elle et ses clients. Sa réputation est fondée sur trois grands principes : la rigueur dans le traitement juridique des dossiers, une écoute attentive et de la combativité dans la défense des intérêts des demandeurs.

 

 

Vous êtes informé du verdict du jugement administratif ou judiciaire. Votre permis de conduire se trouve ainsi en danger de suspension, de retrait, d’annulation ou d’invalidation. Il est fortement recommandé de faire appel aux services d’un avocat en droit routier. Mais pourquoi contacter un avocat en droit routier ? Quel est l’intérêt de faire appel à un professionnel de droit routier ?

Quand faire appel aux services d’un avocat en droit routier ?

Le retrait de permis peut avoir un impact négatif dans la vie personnelle et professionnelle des conducteurs. Les infractions relatives aux alcools et stupéfiants, à des excès de vitesse ou aux refus de se soumettre au dépistage peuvent entraîner un retrait de point. Ces délits peuvent également conduire à la suspension administrative ou judiciaire, l’annulation ou encore l’invalidation de votre permis de conduire. Si tel est le cas, il est fortement conseillé de contacter le plus tôt possible un avocat spécialisé en permis de conduire pour trouver des solutions rapides et efficaces. En fait, les délais de recours ou de contestation sont très courts. Ce professionnel en droit routier veille notamment à la sauvegarde de votre permis. Il est capable d’intervenir selon l’origine du litige. Il peut donc adopter une stratégie en fonction des points affectés à votre permis de conduire. Vous pouvez ainsi saisir votre chance d’obtenir gain de cause.

L’intérêt de recourir aux services d’un avocat en droit routier

Actuellement, les lois en vigueur sont de plus en plus répressives et frappent aveuglément tous les conducteurs, surtout les jeunes conducteurs. Le recours à un professionnel vous permet de vous défendre contre la suspension ou l’annulation du permis de conduire.

Un expert en droit routier est un allié précieux en cas de petits soucis liés à votre permis de conduire ou à votre véhicule de transport. Il intervient en cas de litige avec un tiers, dans le cadre d’une procédure à l’amiable et juridique. Il peut s’occuper d’un recours d’urgence en cas d’annulation de permis. Il peut négocier le recours administratif pour annuler l’arrêté d’invalidation de permis.

Contacter un avocat en droit routier pour sauvegarder votre permis de conduire

Litiges, sanctions, retrait de permis de conduire… Tous les automobilistes peuvent faire face à des situations plus compliquées dans l’usage de la route. Pourtant, les procédures de récupération du permis de conduire sont très complexes. De plus, les sanctions pour les délits routiers sont beaucoup plus sévères. Avoir recours aux services d’un expert en droit routier vous offre la possibilité de défendre vos droits. Il met à votre disposition son expertise afin de récupérer ou d’éviter l’annulation votre permis de conduire.

Vous êtes poursuivis pour accident sous l’emprise de l alcool ? Il est nécessaire d’être défendu efficacement par un avocat expérimenté. Ce dernier est capable de vous défendre efficacement et de restituer votre permis. En effet, il dispose d’une connaissance juridique approfondie dans la défense des conducteurs accusés pour des délits routiers.

Annulation ou invalidation du permis, perte de points, alcoolémie au volant, contestation de vos infractions… Faites-vous accompagner par un professionnel de droit routier pour faire valoir vos droits.

Si vous êtes chef d’entreprise ou salarié dans la région bordelaise et que vous avez besoin d’un conseil ou d’un soutien juridique, faites appel à l’AFC Ledermann, un cabinet d’avocats spécialisé en droit du travail, droit social et protection sociale. En savoir plus sur le cabinet et sur la manière dont il peut vous aider.

Histoire et informations sur AFC Ledermann

AFC Ledermann, cabinet d’avocats à Bordeaux, a été fondé en 2010 par Béatrice Ledermann, qui exerce le métier d’avocat depuis plus de 25 ans et est spécialisée en droit du travail, droit de la sécurité sociale et droit de la protection sociale. Le cabinet, inscrit au barreau de Bordeaux, dispose non seulement d’une équipe d’experts en droit du travail, mais travaille également en partenariat avec d’autres experts tels que des experts médicaux, des psychologues, des experts-comptables, des experts en NTIC, des ergonomes et d’autres avocats. Par ailleurs, le cabinet fait partie du groupement d’avocats JSA (Juriste en Droit Social Associés), présidé par Béatrice Eldermann depuis 2018. Ce groupement regroupe 35 cabinets d’avocats spécialisés en droit du travail et de l’emploi sur l’ensemble du territoire français. Grâce aux rencontres et échanges réguliers entre les membres du réseau JSA, AFC Ledermann renforce son expertise et son ingénierie juridique dans l’interprétation des textes pour accompagner et conseiller les entreprises. Visitez ce site spécialisé pour plus d’information ou pour prendre rendez-vous en ligne.

Variété d’options en termes de soutien juridique

L’AFC Ledermann peut intervenir à tous les niveaux d’une entreprise grâce à Béatrice Ledermann, avocate en droit du travail à Bordeaux. Que vous soyez chef d’entreprise, salarié ou décideur, le cabinet peut vous aider à faire face à tous les aspects du droit du travail, ainsi qu’à des problèmes tels que les accidents du travail, les erreurs médicales et de nombreux litiges et contentieux. Si vous êtes employeur, le cabinet peut vous assister dans votre projet de restructuration, d’audit social, de reprise d’entreprise, de rédaction de contrats de travail, de conseil lors de procédures de licenciement, de négociation d’accords d’entreprise, de mise en place d’outils de process, le tout dans une optique juridique et RH. En outre, le cabinet peut mettre à votre disposition un juriste de direction qui pourra vous fournir un accompagnement individualisé sur votre projet de restructuration, votre procédure de licenciement, la rédaction de contrats, le droit pénal, etc. Si vous êtes salarié, les spécialistes du droit du travail du cabinet veilleront à ce que vous soyez correctement représenté. L’AFC Ledermann, cabinet d’avocats à Bordeaux, propose également des formations pour vous permettre d’améliorer vos compétences et d’en savoir plus sur les perspectives de négociation pacifique. Enfin, en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle, vous pouvez solliciter un avocat spécialisé dans les dommages corporels auprès du cabinet.

Formations spécialisées en droit du travail pour les entreprises

AFC Ledermann propose des cours personnalisés en présentiel ou à distance pour les entreprises. Le cabinet propose diverses formations en droit social et en droit du travail, notamment sur la prévention, les nouvelles législations, le conseil et l’évaluation des risques financiers et pénaux. Son objectif est de vous fournir toutes les clés et les outils dont vous aurez besoin pour respecter la loi et accomplir efficacement vos missions. Les règles de protection des données, la santé et la sécurité au travail, le droit pénal, la prévention de l’harcèlement, la prévention du burnout et l’organisation du télétravail pendant et après l’épidémie font l’objet d’un suivi. Découvrez son portefeuille de formations en groupe ou en individuel, à Bordeaux ou à distance. Les formations thématiques sont dispensées par l’AFC Ledermann-Formation, organisme de formation non assujeti à la TVA, en cours de création et qui fera l’objet d’une procédure de certification qualiopi en raison des 25 ans d’expérience de Maitre Béatrice Ledermann dans la formation et des 8 ans de Maitre Roxane VUEZ en tant qu’avocate en droit social à Bordeaux, ou par l’association JSA Formation.

Trouver un travail descend figure parmi les objectifs de la plupart des personnes. Afin d’assurer le développement dans une société, l’employeur ainsi que les employés doivent vivre en harmonie. De temps en temps, des problèmes peuvent survenir. C’est afin de gérer ce genre de situation que le code de travail a été mis en place. Ce dernier reste, cependant, assez méconnu des employés. Les grandes entreprises disposent dans bon nombre de cas d’un syndicat des employés qui peuvent vous aider à comprendre vos droits. Dans cet article, vous pourrez découvrir les points essentiels du code de travail.

Code du travail : c’est quoi ?

Le Code du travail est une loi très importante que chaque employé doit, de préférence, connaitre avant de s’engager auprès d’une entreprise en particulier. De manière générale, il regroupe les normes juridiques qui englobent les relations entre employés et employeur. Ce dernier se base, notamment, sur les conventions et contrats, et les lois autour du travail, dans votre pays. En effet, le Code du travail est différent d’un pays à un autre. Il englobe, néanmoins, les relations entre le salarié individuellement ou en collectivité et l’employeur. Actuellement, chaque entreprise dispose, au moins, d’un avocate du droit du travail.

Les attributions de l’avocat en droit de travail

Pour veiller au respect du code de travail dans une entreprise, recourir aux services d’un avocat en droit du travail est indispensable. Cela s’avère, particulièrement, indispensable lors des conflits entre employés ou encore entre employeur et employé. Spécialisé dans les litiges de ce genre, l’avocat aura pour objectif d’instaurer un environnement où tout le monde peut travailler sans soucis.

Ce dernier devra défendre les intérêts des employés, mais également de l’employeur devant le tribunal en cas de nécessité.

Ce dernier joue par ailleurs le rôle de conseiller pour ce qui est de l’organisation, en général, du travail dans l’entreprise. Cela peut concerner la révision ou encore la rédaction des contrats de travail de chaque employé. Un professionnel de ce genre peut, par ailleurs, être utile pour obtenir le permis de travail de vos collaborateurs étrangers. Faire appel à un avocat pour un licenciement abusif est, aussi, indispensable.

Les essentiels à retenir

Le Code du travail étant différent d’un pays à un autre, ce dernier doit être constitué par plusieurs points importants. Parmi eux, vous y trouverez, notamment, les termes d’exécutions du code de travail. Cela regroupera  les obligations de chaque employeur, mais également du salarié au travail. Le code de travail doit, aussi, avoir une section dédiée à l’évolution de votre relation de travail. De même, vous devrez, également, y trouver les détails de chaque poste dans l’entreprise. Cela concerne, notamment, le type de prestation que l’employé assure, sa rémunération ainsi que les liens de subordination. De même, vous devez, aussi, y trouver les conditions relatives aux périodes d’essai pour chaque nouvel employé.

L’objectif du code de travail est d’instaurer, dans tous les cas, un environnement propice pour l’épanouissement professionnel de chaque employé. N’hésitez, donc, pas à faire appel à une avocate du droit du travail en cas d’injustice.

Afin de fonctionner de manière correcte, la société est régie par des lois juridiques qui permettent à tous de vivre en respectant les règles et les limites imposées. Ces lois ne sont cependant pas connues par tout le monde, et si vous êtes sujet à des problèmes juridiques, il devient très difficile de vous défendre, car vous n’aurez pas le pouvoir ni les connaissances nécessaires. Faire appel à un avocat est un très bon moyen de se représenter et de se protéger, car celui-ci veillera à ce que les lois soient correctement appliquées. Pourtant, son travail ne s’arrête pas là, et il doit aussi se charger de nombreuses autres tâches. Découvrir lesquelles deviennent alors importantes.

Représenter et défendre son client

Un des rôles les plus connus de l’avocat est sans doute de représenter un client et de le défendre devant un tribunal ou une cour de justice. L’avocat est un professionnel juridique qui est appelé par un client afin d’agir en son nom et de le défendre sur tous les plans. Son rôle de défenseur commence lorsque les deux parties n’ont pas pu trouver de solution amiable face au problème. Un procès les opposants devra alors être engagé, au cours duquel, une partie l’emportera sur l’autre. Même si dans de nombreux cas, la présence d’un avocat n’est pas obligatoire, il reste recommandé de toujours en contacter un, car son expertise peut vous aider aussi bien devant les tribunaux que dans les cours d’appels administratifs.

L’avocat est donc un mandataire ayant pour objectif de vous représenter vous et vos intérêts afin de les défendre. Par conséquent, c’est un allié puissant pour vous tenir au courant des différentes lois et règlements en vigueur pour ensuite les tournés à votre avantage. Grâce à sa formation en droit et en juridiction, vous serez sûr d’être défendu correctement.

Pour des informations plus détaillées sur le sujet, et pour savoir où trouver des avocats de qualités, rendez-vous sur coteg-azam.fr.

Conseiller et enseigner ses clients

Outre le fait qu’il vous défendra votre nom en cas de problème, l’avocat est aussi une personne qui peut vous conseiller dans vos projets et dans vos actions futures, afin que celles-ci soient totalement en règle. Ainsi, que ce soit pour acheter ou vendre une maison, un bien immobilier, ou même une entreprise, un avocat pourra vous aider à rédiger tous les contrats de manières simple, rapide, mais surtout légale. Comme il peut agir en tant que conseiller juridique, il va aussi vous aider pour des tâches plus simples telles que la réalisation d’un contrat de mariage, d’un testament ou d’une mise en demeure.

Par ailleurs, il peut aussi vous conseiller et vous informer sur les lois et les règlements ainsi que leurs évolutions actuelles afin que vous soyez toujours en connaissance de cause, et que vous puissiez prévenir ou anticiper les futurs problèmes. Dans cet ordre, il va vous renseigner sur les différents droits que vous possédez et les situations dans lesquelles vous pouvez tirer avantage (conflit entre voisins, garde d’un enfant…) afin de faire une meilleure utilisation des lois.

Rédiger et transiger des textes

Bien qu’il soit bon dans le fait de défendre ses clients, l’avocat l’est encore plus lorsqu’il s’agit de rédiger des textes de lois ou de contrats. En effet, une de ses tâches consiste à s’occuper de toute la paperasse administrative lors des confrontations, de la défense, ou tout simplement pour rédiger des contrats de conventions. Cela peut être des contrats de travail, des promesses de vente, d’achat, de bail, et bien d’autres. Si son client rencontre des difficultés avec des associés ou des créanciers, l’avocat peut rapidement aider à trouver un compromis correct dans lequel tout le monde sera gagnant. Il s’assure donc toujours que son client soit à l’abri du danger.

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